Le 25 juillet 2001, par Pierre LASSALLE,
Que les forces de guérison
du soleil, de la lune, des étoiles
et des planètes dans leur élan
coulent à travers moi,
coulent à travers moi.
Que les forces de guérison du soleil, de la lune, des étoiles et des planètes dans leur élan coulent à travers moi, coulent à travers moi.
Et comme le fleuve gorgé de pluies qui rejette ses eaux dans les mers, puis-je rendre à tous ceux qui en ont besoin, la connaissance du chemin et la compréhension du chemin, de l’unité de l’énergie qui danse sous toutes les formes du plus petit atome à la plus grande des galaxies.
Et en une fraction de seconde puissè-je voir le déploiement de l’infini en moi-même et être libre, et être libre.
Que le pouvoir de guérison de l’air, que tous nous respirons, montre comment nous partageons, montre comment nous partageons, et comment avec chacun de nos souffles nous équilibrons vie et mort, nous équilibrons vie et mort.
Que le pouvoir de guérison de l’eau me fasse grandir ; me fasse grandir ; que je puisse apprendre à lâcher prise et à vivre le flux à chaque moment.
Que le pouvoir de guérison de la terre me donne une nouvelle naissance, me donne une nouvelle naissance ; que je puisse voir l’égale valeur de toutes les formes de la vie, et ainsi en finir avec mes combats intérieurs. |
du feu embrasse le vrai désir de mon coeur m’élève plus haut, m’élève plus haut.
Que le pouvoir de guérison de la lumière rende une vision lumineuse ; qu’en moi les oppositions apparentes puissent s’unifier ; que je puisse transcender le bon et le mauvais, et ne plus voir la vie en blanc et noir.
Que le pouvoir de guérison du son coule dans ma voix, et se répande et accorde mon oreille à tout ce que j’entends ; que mon esprit ainsi devienne clair, et que je me libère de tout espoir et de toute crainte.
Dans le silence qui n’a pas de centre, puissè-je voir la grâce bienfaisante de l’espace vide, brillant et lumineux qui est l’essence même de mon esprit ; et puissè-je ainsi aller au-delà de toutes les conceptions limitées de la naissance et de la mort, et transcender les visions erronées du temps.
Que, par le pouvoir de guérison invoqué dans ce chant je puisse, moi et tous ceux qui souffrent devenir à présent forts, et que tous les coeurs connaissent la paix à laquelle ils aspirent,
John Shane 1978. |